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Participez à la Simulation boursière 2025 et courez la chance de gagner votre billet !
Le samedi 29 mars, plongez dans l’univers des marchés financiers lors de la deuxième édition de la Simulation boursière, une activité interactive unique dans l’Est-du-Québec. Que vous soyez passionné de finance ou simplement curieux d’en apprendre plus sur la Bourse, cet événement est ouvert à tous, y compris le grand public.
- Quand ? Samedi 29 mars, dès 8 h 30
- Où ? Amphithéâtre Ernest-Simard, campus de Rimouski
- Prix à gagner : 3 200 $ en récompenses + des tirages de prix de présence
À gagner !
Je ferai tirer 5 billets d’une valeur de 40 $ parmi les personnes intéressées. Pour participer, écrivez-moi en privé d’ici vendredi 14 mars à 16 h.
Cette journée sera rythmée par des transactions boursières en direct, des défis stratégiques et des interventions exclusives, dont les miennes. J’aurai le plaisir de partager trucs et astuces pour réussir en Bourse, en plus d’un clin d’œil à mon tout dernier ouvrage Ni noir ni blanc : investir à la Bourse avec les modèles mentaux, lancé le 1er mars.
Que vous soyez débutant ou initié, cette simulation vous permettra d’expérimenter les dynamiques des marchés financiers dans un cadre ludique et formateur.
Ne manquez pas cette opportunité ! Pour plus d’informations, visitez la page officielle de l’événement.
Intéressé ? Écrivez-moi en privé pour tenter votre chance au tirage.

𝐂’𝐄𝐒𝐓 𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈 !
Dès 8h ce matin, Ni noir ni blanc : investir à la Bourse avec les modèles mentaux est officiellement en vente… et il n’y a que 1000 exemplaires disponibles.
Si vous souhaitez votre copie, mieux vaut ne pas trop attendre !
Soyez parmi les premiers à mettre la main dessus !
Merci et bonne journée !
Michel

Un livre, une collaboration, un lancement officiel
Le 1er mars marquera une étape importante : Ni noir ni blanc : investir à la Bourse avec les modèles mentaux sera disponible dès 8 h sur mon site Web, dans l’onglet Mes livres.
À l’approche de la Journée internationale des droits des femmes, je souhaite mettre en lumière l’apport essentiel de nombreuses femmes engagées, dont l’expertise et la rigueur ont enrichi ce projet. Que ce soit par leur travail de révision linguistique, leur implication chez Desjardins et Septembre Éditeur, ou encore par leurs commentaires éclairés, elles ont contribué à donner à cet ouvrage clarté et précision.
Merci à :
Aurélie Alaume, Véronique Blais, Hélène Bouchard, Magali Cloutier Provencher, Lucie Demers, Priscilla Franken, Sabrina Gendron-Fontaine, Marie-Elaine Gervais, Amélie Jeanson-Roberge, Linda Laberge, Catherine Lord, Maryse Lauzon, Danielle Pilon, Marianne Spear, Mirella Tremblay et Émilie Vaillancourt.
Ce projet a aussi bénéficié du regard attentif et de l’engagement d’hommes qui ont joué un rôle clé dans la révision et la relecture du livre.
Merci à :
Benoit Baillargeon, Hugo Bélanger, Nicolas Gauthier, Jean-François Labrie, Jérôme Leclère, Hugo L’Italien, Steve Pahle, Samuel Proulx et Louis Saint-Arnaud.
Ce livre est avant tout une œuvre collective, enrichie par l’intelligence et la générosité de chacun. Merci à toutes et à tous de votre contribution.
Rendez-vous le 1er mars pour le lancement officiel!

Syndrome de l’imposteur : quand confiance et estime de soi s’affrontent
« Un jour, ils vont comprendre que je ne suis pas à ma place. »
« J’ai juste eu de la chance. »
« Si je réussis, c’est parce que j’ai travaillé plus que les autres, et non pas parce que je suis doué. »
Si ces pensées vous hantent, sachez que vous êtes loin d’être seul. Le syndrome de l’imposteur frappe les plus brillants, les plus ambitieux, les plus compétents. Il s’infiltre partout : dans le bureau du dirigeant, dans l’esprit du chercheur en pleine découverte, dans le cœur de l’artiste reconnu. Plus on avance, plus il grandit. Pourquoi ? Parce qu’il ne se nourrit pas de l’échec, mais du succès.
Le paradoxe de l’imposteur
Ceux qui doutent d’eux-mêmes ne sont pas médiocres. Ils excellent. Ils innovent, créent, repoussent leurs limites. Pourtant, ils refusent de s’attribuer le mérite. Pourquoi ? Parce que leur confiance repose sur un socle instable : leurs performances. Leur estime d’eux-mêmes, elle, n’a pas été solidement ancrée.
Depuis l’enfance, ils ont entendu :
« Sois le meilleur. »
« Travaille plus fort. »
« L’échec, c’est pour les autres. »
Alors, ils ont appris que leur valeur dépendait de leurs résultats. Gagner pour exister. Performer pour mériter. Mais voilà : quand on mesure son identité à ses accomplissements, on devient esclave de la prochaine réussite. Chaque victoire devient une pression de plus. Chaque compliment sonne creux.
Le résultat ? Ils avancent comme des funambules sur un fil invisible, convaincus qu’un faux pas suffira à les faire chuter dans l’oubli. Ironie du sort : ils sont déjà au sommet.
Le filtre déformant du syndrome de l’imposteur
Le cerveau d’un « imposteur » fonctionne comme un logiciel biaisé :
— Il ignore les réussites (« C’était facile, n’importe qui aurait pu le faire. »)
— Il amplifie les critiques (« Tu vois, j’ai encore beaucoup à apprendre. »)
— Il rejette les compliments (« Ils sont juste gentils, ils ne pensent pas vraiment ce qu’ils disent. »)
Il transforme le succès en anomalie et l’échec en confirmation d’un manque de légitimité.
Sortir du cercle vicieux : l’antidote au syndrome de l’imposteur
Bonne nouvelle : ce n’est pas une fatalité. Vous pouvez reprogrammer votre regard sur vous-même.
— Votre valeur ne dépend pas de vos performances. Vous n’avez rien à prouver pour exister.
— Soyez votre meilleur allié. Remplacez « Je ne suis pas assez bon » par « Je suis en apprentissage ».
— Célébrez vos avancées. Regardez le chemin parcouru plutôt que le sommet encore à gravir.
— Lâchez la quête de validation. Ce que vous faites a du sens, même si personne ne le souligne.
Le syndrome de l’imposteur ne disparaît pas du jour au lendemain, mais il perd du terrain dès qu’on cesse de le nourrir.
Alors, la prochaine fois qu’un doute surgira, posez-vous cette question :
Et si ce que je crois être de la chance était en réalité mon talent ?
Vous n’êtes pas un imposteur. Vous êtes un être en mouvement, en évolution, en devenir. C’est ça, la vraie légitimité.
Un immense merci à Guillaume Leroutier du CQPNL pour son éclairage sur ce concept fascinant. Sa vision a enrichi cette réflexion et permis d’apporter des clés concrètes pour mieux comprendre et dépasser ce syndrome.
Source :
Centre Québécois de PNL (CQPNL). Advenir entrepreneur-coach : Business et coaching, 2024.
Crédit image : Sébastien Bolduc